Première partie : l’aluminium un poison reconnu par les vrais scientifiques mais pas par les dirigeants manifestement malfaisants et corrompus…
Article mis à jour régulièrement, dernière mise à jour 21/07/2025
Pour une bonne information, voici la Fiche toxicologique n°306 sur l’Aluminium et ses composés minéraux de l’Institut national de recherche et de sécurité : le PDF ici à lire attentivement
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2022 : L’aluminium utilisé comme adjuvant dans les vaccins est toxique. Il peut provoquer des maladies graves et invalidantes. Le film « L’ALUMINIUM, LES VACCINS ET LES 2 LAPINS… », réalisé par Marie-Ange Poyet, donne pour la première fois la parole aux victimes, à des scientifiques, des journalistes, des politiques et une historienne.
Ce film est co-produit par l’association E3M et Entre2Prises. Il a fait l’objet d’un financement participatif grâce au soutien de 400 donateurs. |
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Deuxième partie : Le silicium une solution pour éliminer l’aluminium…
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Troisième partie : Le Silicium
Les professeurs Christopher Exley, Romain Gherardi, Henri Joyeux, ainsi que le Dr. Robert Saubens-Le Loch (LABO SANTÉ Silice), Norbert Duffaut (chimiste organicien) et Loïc Le Ribault ont étudié les bénéfices du silicium organique (monométhylsilanetriol ou MMST) pour la santé, notamment dans la détoxination des métaux lourds. Voici leurs principales conclusions :
1. Chélation des métaux lourds (Exley, Gherardi, Duffaut, Le Ribault)
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Christopher Exley (spécialiste de l’aluminium) a démontré que le silicium organique favorise l’élimination de l’aluminium via les urines en formant des complexes hydroxyaluminosilicates (HAS).
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Romain Gherardi (expert en myofasciite à macrophages) a souligné son rôle dans la détoxication de l’aluminium vaccinal et d’autres métaux accumulés dans les tissus.
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Norbert Duffaut et Loïc Le Ribault ont montré que le MMST se lie aux métaux toxiques (aluminium, mercure, plomb, arsenic) pour faciliter leur excrétion rénale sans épuiser les minéraux essentiels (fer, zinc, magnésium).
2. Protection des tissus et régénération (Gherardi, Saubens-Le Loch)
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Dr. Saubens-Le Loch (LABO SANTÉ Silice) a mis en avant son action sur la réparation des tissus conjonctifs (peau, articulations, parois vasculaires) endommagés par les métaux lourds.
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Gherardi a observé une réduction des inflammations chroniques liées aux dépôts métalliques (notamment dans les maladies neurodégénératives).
3. Soutien immunitaire et anti-inflammatoire (Joyeux, Le Ribault)
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Henri Joyeux a rapporté des effets positifs sur le système immunitaire, en aidant à réduire la charge toxique qui perturbe les défenses naturelles.
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Loïc Le Ribault a documenté des améliorations dans des pathologies liées à l’intoxication aux métaux (fibromyalgie, fatigue chronique).
4. Biodisponibilité et sécurité (Duffaut, Le Ribault)
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Contrairement à d’autres chélateurs (EDTA, DMSA), le silicium organique (MMST) est non toxique, bien toléré et ne provoque pas de carences en minéraux essentiels.
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Sa petite taille moléculaire lui permet de traverser les barrières (encéphalique, cellulaire) pour cibler les métaux stockés dans le cerveau ou les organes.
Applications pratiques
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Détox post-vaccinale (adjuvants aluminiques).
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Traitement complémentaire des intoxications au mercure (amalgames dentaires) ou au plomb.
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Soutien dans les maladies neurodégénératives (Alzheimer, Parkinson) liées à l’accumulation de métaux.
Controverse : Bien que ces travaux soient prometteurs, certains médecins critiquent le manque d’études cliniques à large échelle. Cependant, les témoignages de patients et les recherches en biologie moléculaire soutiennent son efficacité.
Pour aller plus loin, consulter :
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Exley : “The Aluminium-Silicon Hypothesis in Alzheimer’s Disease”
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Gherardi : “Macrophagic myofasciitis: characterization and pathophysiology”
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Duffaut/Le Ribault : Brevets sur le MMST.
En résumé, le silicium organique est considéré par ces chercheurs comme un outil majeur pour la détoxination douce et ciblée des métaux lourds.
Extrait du site de Loïc Le Ribault
Norbert Duffaut
En 1957, Norbert Duffaut, chimiste organicien de l’Université de Bordeaux, réalisait un exploit majeur en synthétisant pour la première fois une molécule d’organo-silicié. Après avoir été stabilisée avec de l’acide ascorbique, puis avec de l’acide salicylique, cette molécule a rapidement trouvé sa place en médecine sous le nom de DNR (Duffaut Norbert Remède).
Dès le début de l’année 1958, Duffaut entreprenait d’explorer les multiples utilisations thérapeutiques du DNR, notamment dans le traitement des affections cardio-vasculaires. Les résultats obtenus dans ce domaine furent si révolutionnaires qu’en 1967, l’Académie de Médecine distinguait le docteur G.R. Rager en lui décernant le prestigieux prix J. Levy-Bricker pour ses travaux sur l’utilisation des organo-siliciés en médecine humaine.
La Collaboration entre Loïc Le Ribault et Norbert Duffaut
En 1982, deux chimistes, Norbert Duffaut et Loïc Le Ribault, se rencontrent lors d’une conférence scientifique à Bordeaux. Duffaut, qui s’intéresse depuis longtemps à une molécule synthétisée de silice organique, fait équipe avec Loïc Le Ribault, qui dispose d’un équipement de microanalyse avancé grâce à son laboratoire C.A.R.M.E.. Leur collaboration se concentre rapidement sur les applications thérapeutiques de ces composés organiques de silice.
En travaillant ensemble, Duffaut et Le Ribault parviennent à synthétiser une molécule très efficace dans le traitement des maladies virales, le G4 (également connu sous le nom de DNV), grâce à l’ajout d’hyposulfite de sodium. Pendant près de dix ans, les deux scientifiques rassemblent des preuves de l’efficacité des composés organiques de silice dans le traitement d’une large gamme de maladies. Ils traitent chaque année des centaines de patients, qu’ils soient assistés par des médecins ou non, et cherchent constamment à améliorer leurs préparations.
En 1985, Le Ribault dépose une demande de brevet international pour protéger les applications thérapeutiques du G4 et organise une conférence de presse à Paris en 1986. Malheureusement, les autorités médicales affichent peu d’intérêt pour cette avancée.
En 1987, Le Ribault informe Jacques Valade, alors ministre français de la recherche et de l’enseignement supérieur, de l’espoir que représente ce produit dans le traitement du sida. Il demande à ce qu’une expérimentation soit rapidement entreprise. Cependant, cette demande reste sans réponse pendant 18 ans.
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Après la disparition de Norbert Duffaut, Loïc Le Ribault poursuit ses travaux seul. Jusqu’à présent, les préparations de silicium organique étaient utilisées uniquement en usage externe et nécessitaient l’ajout de petites quantités de produits allopathiques et homéopathiques pour être efficaces. Cependant, ces produits présentaient des problèmes tels que leur conservation limitée en raison de leur instabilité moléculaire.
En 1994, Loïc Le Ribault met au point une nouvelle molécule qui n’exige pas l’ajout de médicaments pour renforcer son efficacité. Cette molécule reste stable dans le temps et peut être administrée par voie orale. Elle présente une toxicité équivalente à celle de l’eau. Le Ribault explique que cette molécule de silicium organique est instable à l’échelle atomique, ce qui signifie qu’elle se réorganise en permanence grâce à son fort pouvoir oscillatoire. La stabilisation de cette molécule éphémère marque un progrès majeur.
Une autre avancée significative réside dans la grande pureté de cette molécule, car Loïc Le Ribault a réussi à obtenir une molécule totalement organique et non contaminée par d’autres composés. Ce produit est appelé Silicium Organique de 5ème génération (G5).
Le monomethylsilanetriol, stabilisé grâce à la formule de Loïc Le Ribault, a démontré son efficacité thérapeutique. En revanche, l’acide silicique, bien qu’assimilable théoriquement, a tendance à polymériser facilement, ce qui le rend inactif, voire nocif pour l’organisme. Le Ribault a alors découvert une méthode pour stabiliser l’acide silicique en utilisant un composé organique, permettant ainsi à la molécule d’être parfaitement assimilée et ne comporter aucun risque pour la santé. Ce qui a conduit à la création du “Siliplant” en 2006.
Les conseils du PR Henri JOYEUX pour les maladies neurologiques :
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